...But it's Gabriella Martellacci's rich contralto as the wordly-wise Delfina that lingers on the ear...
(BBC Music Magazine 2019)
...C’est la même distinction qui anime l’excellente Gabriella Martellacci, contralto, dans le rôle de la vieille Delfina; elle fait un peu de théâtre en scène, mais jamais au détriment de la musique (...) et chante aussi bien qu’elle évoque.
Loïc Chahine (Le Babillard - Settembre 2017)
...Quant au choix de la contralto, il est encore plus judicieux que dans l’oratorio de S.Editta où on avait pu la découvrir. On sait, grâce à une lettre de Stradella qui évoquait une « vieille chanteuse romaine », que le rôle, contrairement aux habitudes, était bien tenu par une femme. La voix d’un grave profond est irrésistible, en particulier dans les nombreux duos avec Giraldo, mais aussi avec Fidalbo, accentuant le contraste vocal entre les deux personnages.
(Classiquenews.com - Settembre 2017)
Gabriella Martellacci è un contralto dalle conturbanti sonorità androgine...
Roberta Pedrotti (L'Ape Musicale - Settembre 2016)
...Il faut surtout découvrir l'étonnante alto Gabriella Martellacci, assumant des graves abyssaux, émission directe rivée au texte.
Sophie Roughol (Diapason - Giugno 2016)
Dans le rôle de la Grandezza, c'était ... qui était originellement annoncé, et qui était remplacé par Gabriella Martellacci. On peut s'en réjouir, car le rôle est très grave (le registre grave n'étant généralement pas le point fort des contre-ténors), et que ce fut l'occasion de découvrir cette chanteuse que nous ne connaissions pas. Le timbre est sombre, l'émission assez directe, la voix n'est cependant pas sans séductions; le chant, quant à lui, est nuancé, et surtout, quelle diseuse! Gabriella Martellacci possède comme peu l'art de mordre à pleines dents dans le texte et de le faire déguster.
Loïc Chahine (Le Babillard - Settembre 2015)
The curious character of Clizio [...] is sung by Gabriella Martellacci, who possesses an athletic and husky voice. [...] she does bring tremendous drama to the role, and does a great service to the demanding passagework in the aria 'Anima infida' (Faithless soul). We will, no doubt, continue to hear more from her in the future — especially in some of the dramatic contralto parts in the Italian repertory of this period.
Robert Rawson (Cambridge University Press - 2009)
Ozias ha la prestanza vocale e lo straordinario colore di Gabriella Martellacci.
Franzina Ancona (Rinascita - Novembre 2008)
...le vèritable contralto Gabriella Martellacci, avec sa vive palette de couleurs et son engagement expressif...
Frank Langlois (Le Monde de la Musique - Novembre 2008)
Arnalta stavolta non è affidata a tenore chiaro en travesti ma alla corposa pienezza timbrica di Gabriella Martellacci: di sicuro "Oblivïon soave" ne guadagna in termini di estenuata morbidezza sensualeggiante che davvero esala dalle incantate spire di questa pagina sublime, grazie alla ferma solidità d'una linea vocale dalla tecnica agguerrita; ma per fortuna non è meno valido l'accento, in questa notevolissima interprete capace di sbalzare un ritratto a tutto tondo, apice la riflessione finale (quella del "mal volentier morrò") che s'attesta tra le pagine più memorabili dell'Incisione.
Elvio Giudici ("L'Opera in CD e Video" - 2007)
...Oloferne [ha avuto la voce] brunita e ben scolpita di Gabriella Martellacci...
Cesare Galla (Vicenza - 2007)
...la Martellacci è un Otias di grande voce dall'affascinante timbro fasciato di oscuri riflessi.
Sergio Zolli (Messaggero Veneto - Ottobre 2007)
Contralto profondo di gamma, bronzeo di timbro e protervo di modi è invece [...] Gabriella Martellacci...
Francesco Lora (Cronache dal palcoscenico)
Gabriella Martellacci, Galatea, ha sciorinato incisiva coloratura e impeccabile sottigliezza espressiva.
Cesare Galla (Il giornale di Vicenza - Settembre 2005)
...La voz más sorprendente, fue , sin duda, la de la romana Gabriella Martellacci, de amplísimo y bien utilizado registro de pecho...
Samuel González Casado (Mundo Clasico.com - 2005)